Influenza Aviaire hautement pathogène/Niveau de risque Élevé sur tout le territoire
le niveau de risque en matière d’influenza aviaire hautement pathogène ci-joint) , le niveau de risque vis-à-vis de l’IAHP est relevé à « élevé».
Cette décision fait suite à la confirmation de foyers en élevage dans le Morbihan et la Somme et à la dynamique d’infection au virus IAHP enregistrée en Europe. […]
le niveau de risque en matière d’influenza aviaire hautement pathogène ci-joint) , le niveau de risque vis-à-vis de l’IAHP est relevé à « élevé».
Cette décision fait suite à la confirmation de foyers en élevage dans le Morbihan et la Somme et à la dynamique d’infection au virus IAHP enregistrée en Europe.
Le passage en risque « élevé » renforce l’arsenal de protection des élevages avicoles, le renforcement de la surveillance de l’avifaune et généralise sur l’ensemble du territoire les mesures de prévention suivantes :
Claustration ou protection par des filets des oiseaux détenus dans des établissements de moins de 50 volailles ou des oiseaux captifs (basses-cours, zoos) ;
Mise à l’abri et protection de l’alimentation et de l’abreuvement des oiseaux dans les établissements détenant plus de 50 volailles ;
Équipement obligatoire des véhicules destinés au transport de palmipèdes de plus de trois jours au moyen de bâches ou équivalents empêchant toute perte significative de plumes et duvets par un camion plein ou vide ;
Interdiction des rassemblements de volailles et oiseaux captifs,
Interdiction de compétition de pigeons voyageurs jusqu’au 10 avril,
Restrictions aux transports d’oiseaux appelants et interdiction du lâcher de gibier à plumes de la famille des anatidés.
En cas de découverte d’une mortalité d’oiseaux sauvages, sur le territoire du département de l’Ain, le réseau de surveillance SAGIR est joignable selon les horaires suivants :
– Les lundi, mercredi, jeudi – Fédération Départementale des Chasseurs de l’Ain : 04 74 22 25 02
– Les mardi, vendredi, week-end et jours fériés – Office Français de la Biodiversité – service départemental de l’Ain : 04 74 98 39 80
(pour davantage d’information sur ce sujet : https://www.ofb.gouv.fr/ce-quil-faut-savoir-sur-linfluenza-aviaire)
Des travaux d’élagage et d’abattage d’arbres entrepris dans le cadre du plan d’entretien et de maintenance des lignes électriques, vont débuter sur le territoire de la commune à compter du 23/11/23 au 15/03/2024 […]
Des travaux d’élagage et d’abattage d’arbres entrepris dans le cadre du plan d’entretien et de maintenance des lignes électriques, vont débuter sur le territoire de la commune à compter du 23/11/23 au 15/03/2024
Ces travaux ont été confiés par RSE, à l’entreprise : SARL FOURNAND & FILS Exploitant forestier habilité à réaliser l’élagage à proximité des lignes électriques.
Documentaire de Nadia Bouferkas et Sidonie Hadoux […]
Documentaire de Nadia Bouferkas et Sidonie Hadoux
52 minutes
Le mardi 21 novembre 2023 à 20h
Salle du Conseil de la Mairie
Synopsis :
Capitale mondiale du textile jusqu’au milieu du 20ème siècle, Roubaix a trébuché sans jamais se relever. Dans le vertige de sa chute, elle a fauché la majorité des siens – ses travailleurs et leurs enfants – qui alimentent aujourd’hui les statistiques de la pauvreté.
« T’as pas une gueule à foie gras » se passe ici, à Roubaix, dans une épicerie solidaire coincée entre des cheminées qui ne fument plus, un couvent abandonné, des maisons ouvrières et quelques tours plus hautes.
« T’as pas une gueule à foie gras » est une invitation, dans un huis clos peuplé de femmes quinquagénaires cabossées qui portent l’épicerie. Elles nous offrent à bras ouverts l’énergie qui fait qu’elles ne s’effondrent pas, qu’elles résistent dans un système déshumanisant qui ne les protège plus.
Dans ce lieu autogéré qui ressemble aux coulisses intimes d’un théâtre boiteux, elles déplacent les meubles, rafistolent les prises, balaient et miment leur histoire. Sans filet, sans fard, entre réalité et imaginaire, Brigitte, Fatima, Josiane, Karima, Louisa, Monique, Nathalie, Pascale, Nella, Lyacout, nous racontent avec humour et férocité le boulot, les hommes, l’école, les travailleurs sociaux…
Elles se disent leurs vérités, râlent et pleurent, se soignent et se serrent. Elles chantent, rient, rêvent et décortiquent avec finesse et beauté leur condition d’existence, libres qu’elles sont entre ces murs qui leur appartiennent presque.
Sans relâche, elles œuvrent à la fabrique quotidienne du commun.